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Merci à une motarde en Ducati qui a fait ces photos. ( Voir la photo si dessus) http://www.lleylee.comJe profite de cet article dans mon site pour dire: Qu'elle m'écrive pour que l'on puisse discuter de Porcaro.Quels sont les mots que je peux dire de ce pèlerinage des motards et que je n’ai pas encore dit ? Cette année, nous avons convenu de nous voir ce jour là. Je parle de Loïc et Sophie (son amie), Antoine, ma passagère préférée Odile et bien sûr moi-même.Quelle route je prends ? toujours la même …. Avec le petit détour par Melun.Odile et moi, nous ne partons pas très tôt. La route n’est pas si longue.Nous faisons une pause au Mans pour une balade dans la ville. … à pied. Et on repart à une vitesse très raisonnable pour la loi. Ce n’est pas le moment que mon papier rose s’envole.Nous arrivons à notre hôtel à Le Rheu. Le temps de déposer nos affaires, et nous retournons dans Rennes pour trouver une crêperie. Nous sommes en Bretagne que diable, ce n’est pas le pays de la bouffe rapide.La place principale nous donne le parking et tout le choix désiré.Nous passons une soirée calme, à " lambiner" à table. Je ne sais pas si çà se dit "lambiner", en traduction française, ce serait plutôt discuter longuement en espérant que les serveurs ne soient pas pressés… car nous, nous ne sommes pas pressés de quitter l’établissement.La nuit se passe bien, la matinée nous annonce un peu de pluie. Nous commençons notre route vers Porcaro par un petit crachin. Mais comme la Bretagne a le secret des variations, cette situation ne dure pas.Nous sommes au point de ralliement… l’arrêt des cars à l’entrée de Porcaro et …. Antoine est déjà là. Nous nous garons à l’entrée du village. J’ai l’impression qu’il y a moins de monde que dans les années précédentes… ce n’est qu’une impression. Nous allons jusqu’à le célébration en pleine air. L’abbé Prévoteau, le créateur de ce rassemblement moto, a cédé la place à plus jeune que lui.Loïc nous téléphone. Il nous attend à Guer, sur la terrasse de notre petit restaurant habituel. Et oui ! on a déjà nos manies…Nous déjeunons ensemble, mais Loïc adhère à un club cycliste. Il faut qu’il rentre et Sophie travaille cette après-midi. On se donne rendez-vous chez Loïc pour le repas du soir.Antoine doit faire le plein de sa bête. Nous assistons au départ du convoi des motards de la station service de Guer. En regardant de plus près, mon impression de tout à l’heure est fausse. Il y a autant de monde que d’habitude. La balade est toujours aussi sympa. Les gens du pays nous attendent sur le pas de leur porte avec des grands saluts. Il faut parler de la cité de Malestroit qui doit absolument être visitée par tous les passionnés d'histoire.....Comme anecdote, Odile a fait le parcours derrière Antoine, moi j’ai pris un adolescent comme passager que son père est venu récupéré au parking de Ploërmel. C’est çà la sympathie bretonne. On fait confiance à des étrangers. Car je ne connaissais pas ce garçonnet. Il était un peu crispé quand je penchais… mais s’il est passionné, c’est une première approche.Nous quittons Ploërmel pour le village de Loïc : Plessé, en dessous de Redon. Antoine a pris un hôtel à Redon. Nous allons cherché les clefs… car nous avons prévu de rentrer tard….Je ne suis venu qu’une seule fois, et je ne retrouve pas tout de suite le nid de Loïc. Nous passons la soirée de bonne façon.Nous quittons nos amis à 1 h du matin, Antoine va vers Redon et nous nous devons rejoindre Rennes par des routes dont je ne connais pas le moindre virage. Odile est fatiguée. Elle s’endort en se calant sur le dosserets du top case. Malgré tout ces effort pour rester éveiller, je sens qu’elle tombe de temps en temps.Et voilà, le W.E de rêve se termine. Nous repartons après une bonne nuit (réveil à 10 h). Nous arrêtons à Laval pour une marche à pied. La chaleur monte très vite. Nous stoppons une deuxième fois à Connerré. A cette endroit là, la cadence s'accélère. J'ai moins peur des radars dans ce coin du Perche. Une petite pointe à 210kms/h entre Châteaudun et Toury pour montrer à Odile qu’à deux, charger et confortablement assis, les grosses routières sont loin d’être ridicules par rapport aux sportives.....Prochain voyage….. l’année prochaine. Les étapes qui vont suivre sont moins intéressantes : Le salon du 2 roues, le départ de MotoTour… les balades dominicales.Ah ! …. Une chose…. Je vais ( peut-être) m’inscrire au club de Pan-Européan pour voir… un an, on verra pour la suite.
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